En trente ans, le nombre de divorces prononcés en Suisse a augmenté par rapport au nombre de mariages. Il est passé de 1 pour 3,2 mariages en 1980, à 1 divorce pour 1,95 mariage en 2010. Il faut dire, qu’entre-temps les mœurs ont changé, que la loi a changé et que, depuis 2000, elle facilité le divorce à l’amiable.
En effet, accuser l’autre de « faute conjugale » n’est plus un argument recevable. De plus, tout ce qui concerne les principales conséquences concrètes d’un divorce – la garde des enfants, l’attribution du domicile conjugal, la question des pensions, etc. – est si précisément encadré par la loi que l’appui d’un avocat n’apporte rien de plus, sauf dans certains cas spécifiques relativement rares (par exemple si l’un des deux époux refuse obstinément toute résolution à l’amiable, ou si les « avoirs » du couple sont des plus importants).
Accompagnement en ligne…
Si, aujourd’hui 9 divorcés suisses sur 10 l’on fait à l’amiable, ce n’est pas pour rien. Vu qu’on peut ainsi se passer d’avocat, la procédure est peu coûteuse (ainsi qu’on peut le voir sur cette page, il faut juste payer les droits de greffe). Et elle est de surcroit très rapide (quelques semaines contre plusieurs années pour un divorce classique), ce qui ne peut qu’en réduire le stress, notamment pour les enfants s’il y en a. Mieux, grâce à un site comme divorce.ch, il est désormais possible de « divorcer en ligne » pour ainsi dire. À découvrir sur https://divorce.ch/ !